Les réflexes archaïques

Les réflexes archaïques

Le mouvement, c'est la vie!

L'intégration des réflexes archaïques : kesako ?

  • Mon enfant ne cesse de bouger lorsqu’il est assis.
  • Il s’assoit mal sur sa chaise et il est avachi sur sa table
  • Il/elle tombe souvent et on dit qu’il/elle est maladroit(e)
  • Il n’arrive pas à se repérer dans l’espace
  • Les étiquettes le/la grattent
  • Il est malade en voiture
  • Il a des difficultés pour rester attentif et concentré
  • Il a des difficultés pour lire, écrire, compter…
  • Il a des difficultés pour retenir ses leçons, ses cours
  • Ses émotions prennent trop de place, il est vite submergé
  • Il est hypersensible au bruit, à la lumière, aux odeurs
  • Il a de fortes colères
  • il/elle n(ose pas aller vers les autres et a des difficultés à se faire des amis.

Au quotidien, nos enfants, nos adolescents et nous-mêmes en tant qu’adultes, nous pouvons vivre ces situations.

Nous n’avons pas toujours de réponses à apporter pour que cela aille mieux et on se dit que cela va passer.

Sauf, que ces exemples sont des tensions, des compensations que font notre corps !

Il nous envoie des messages en nous disant : « Là, il faut faire quelque chose ! »

En tant que parents, nous pouvons être confrontés à ce type de situations.

Parfois, nous n’avons pas d’éléments de réponses à leur apporter pour répondre à leurs envies ou à leurs besoins du moment.

Un accompagnement basé sur l'intégration des réflexes archaïques peut être une solution à proposer à votre enfant.

Pourquoi ?

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Les réflexes archaïques: kesako?

Ce sont des mouvements innés, automatiques, inconscients en réponse à un stimuli extérieur ou à un ressenti.
Ce sont des mouvements que font naturellement les bébés, comme le réflexe d’agrippement ou de succion.

Plus nous sommes en mouvement, plus ces réflexes vont pouvoir jouer pleinement leurs rôles pour permettre au bébé de se développer d’un point de vue moteur, émotionnel et cognitif.

Puis au fur et à mesure, ils vont être amenés à s’intégrer ou à se transformer en réflexes de vie, appelés aussi réflexes posturaux.

Par contre, lorsqu’ils ne sont pas correctement intégrés, ils peuvent créer ces fameuses tensions ou compensations !

Et ce qui est chouette, c’est que rien n’est figé !

Tout peut évoluer et diminuer en intensité grâce à la plasticité de notre cerveau !

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Alors comment les réintégrer ?

En lien avec un objectif précis que l’enfant/l’adolescent/l’adulte souhaite travailler, je lui propose de réaliser des mouvements bien spécifiques, qui répondront aux besoins de son corps pour pallier toutes ces compensations.

Il faut plusieurs séances pour voir des progrès et des changements et surtout, il faut faire les mouvements régulièrement.

C’est comme pour apprendre à marcher, un bébé tombe environ 2 000 fois avant de pouvoir réellement s’aventurer seul !

J’affine ensuite l’accompagnement en fonction des résultats observés et de l’objectif qui peut, lui aussi, évoluer.

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